En 2012, on dénombrait 722 établissements de transformation des produits de la mer, la plupart se situant en Nouvelle-Écosse (188), à Terre-Neuve-et-Labrador (148), en Colombie-Britannique (137) et au Nouveau-Brunswick (83).
Au cours de l'année 2012, le secteur a généré des revenus de 4,3 milliards de dollars et employé plus de 33 000 personnes. L'industrie est un exportateur net de poissons et de fruits de mer, les exportations se chiffrant à 3,5 milliards de dollars et les importations à 2,7 milliards de dollars. Environ 70 % de la production canadienne totale de poissons et fruits de mer est exportée.
La majorité des exportations canadiennes sont destinées aux États-Unis (55 %), à la Chine (11 %) et au Japon (7 %). Les principaux marchés d'importation au Canada sont les États-Unis (23 %), la Chine (17 %), la Thaïlande (12 %) et le Vietnam (10 %).
Que monitorent les transformateurs de poissons?
Plusieurs de nos clients ouvrant dans l’industrie de la transformation du poisson, monitorent différentes étapes de leur transformation: l’éviscération, le filetage, le portionnement, l’injection, l'assaisonnement, la cuisson l’emballage et l’étiquetage avec nos capteurs TileConnect et notre logiciel TileBoard
Quels sont les indicateurs de performance clés?
Un logiciel de type tableau de bord qui permet de suivre la production en temps réel peut se révéler un outil formidable pour optimiser ses opérations. Les indicateurs clés de performance les plus importants pour les transformateurs de poisson sont:
- KPI 1 – Disponibilité (quart)
- KPI 2 – Temps arrêts (quart)
- KPI 3 – Quantité produite (quart)
- KPI 4 – Surproduction
- KPI 5 - Rendement matière
D'où vient le poisson canadien?
L'industrie s'approvisionne dans plusieurs régions du Canada. Les pêcheries commerciales de l'Atlantique et du Pacifique sont les plus importants fournisseurs, suivis de l'aquaculture et des pêcheries en eau douce. Les mollusques représentent 53 % des récoltes provenant de la pêche en océan; les poissons pélagiques (p. ex., le saumon et le thon), 24 %; les poissons de fond (p. ex., la morue, l'aiglefin), 21 %. Les poissons d'eau douce représentent 7 % de la pêche de poissons sauvages, la majorité provenant de lacs de l'Ontario et du Manitoba.